28 mars 2007

Niaaaaaaaaaaaahouuuuuuuuuu!!!


J'ai 18 ans, mais ça tout le monde le savait. Et tout le monde me croyait sur parole!
Maintenant, je peux vous fournir les preuves concrètes!

1) ma belle carte d'électeur qui sent encore le papier et l'encre! Et que je suis allée chercher samedi dernier à la mairie.
2) mon permiiiiis! Que j'ai passé lundi et dont j'ai eu la réponse (positive hein!) aujourd'hui!

Ceci est un article méga court, mais je vous dit pas à quel point j'suis trop contente et franchement ravie d'avoir mon indépendance routière!

Elle est pas belle la vie?

Libellés :

23 mars 2007

Qui je suis réellement.





Mes très chers lecteurs (sachant que je suis lu par à peu près 10 personnes, et encore...), j'ai décidé de lever le voile sur ma personnalité aux multiples facettes (wah! L'autre hé! Comment elle se la pète! "multiples facettes!"). Bref

Alors voila, je m'appelle Cécile ****, j'vous donnerai pas mon nom de famille, faut pas rêver non plus, avec tout les sales pervers qui traînent sur le net, faut pas exagérer (notez tout de suite mon côté paranoïaque). Je suis née en l'an de grâce 1989, petit rappel historique pour vous mes chers lecteur, l'année 1989, en plus de voir naître une foule de gens hyper-interressant et intelligent (moi), change la face du monde, enfin, la face de Berlin puisque son mur d'une beauté architecturale incontestable tombe le 9 novembre, 1989, c'est aussi l'année de la game boy, celle du prix Nobel de la Paix du Dalaï Lama, le premier Vendée Globe...Ect. En plus d'être née en 1989, grande année vous l'aurez compris, je naquit un beau jour de janvier, le 21 plus exacement, jour qui a fait perdre la tête à notre Loulou à nous, Louis XVI en 1793, bon le 21 Janvier, c'est aussi la mort de Lénine en 1924, la naissance de Christian Dior en 1905...Et encore une foule d'autres évènements trop intéressants que je vous épargnerais ici, z'avez cas taper "21 janvier" dans google.

Mon premier traumatisme se situe au environ de mes 5 ans quand Chloé ma meilleure copine, lors de notre jeu préféré "Devine si je vais avoir un poisson rouge! " "Ben je sais pas. Non?" "Et ben si!!", me demanda, avec beaucoup de tact "Devine si je vais déménager!" "Non!" "Et ben si!" Le drame. La séparation déchirante après 3 ans d'inséparabilité puisque Chloé s'en allait à la campagne, à Chauffry.

Bref, je grandis paisiblement dans une cité pas belle du 94, où je fis mes classes jusqu'en CM1, puisque mes parents après m'avoir fait un petit frère répondant au doux nom de Damien, décidèrent de quitter "notre cage à poule" bien trop petite pour 2 enfants dont les loisirs consistaient (à l'époque et parfois même encore aujourd'hui) à se poursuivre dans tout l'appartement en hurlant et en se tapant dessus, pour immigrer à 2 km de là, dans un quartier pavillonnaire de la même ville.

Ce déménagement fut terrible, arrachée à mes racines, je dus faire face aux ricanements de mes petits camarades bourgeois qui me reprochaient la non possession d'une game boy color dernier cri. J'eus quand même quelques moments de joies, mon premier chat, Berlioz, les parties de Fort Boyard avec mon frère sur la balançoire.
A l'école, je fis la connaissance d'Apolline, qui m'a tout appris en matière de cantine (ou comment coller son camembert sous l'assiette pour pas être obligé par l'instit de surveillance de le manger, prendre un tas de serviettes et planquer sa viande dedans, rapprocher le range-plateau de notre table pour y vider la nourriture dégueu).

Après un an de calvaire dans cette école que je maudis à jamais, j'entrais en 6ème, au collège du quartier, Irène et Frédéric Joliot Curie, Joliot pour les intimes. J'y rencontrais Héloïse, Fanny, et Diane, m'initiais à l'anglais grâce à Dan et Vicky, connu la gloire en cours de musique et m'épanouissais en mathématiques, discipline où j'excellais (16 de moyenne tout au long de l'année).
Le collège, c'est aussi le début des vraies colo, celles que l'on choisit sans l'avis de papa-maman, mes meilleures colo, Rieumes (Hein Célia?), l'Italie (Coucou Margot!) Malte (pas vrai Mélanie?), l'Australie...

Je mène également une double vie au conservatoire, collégienne à la ville, cancre au solfège. Heureusement, la flûte (traversière) m'empêche d'arrêter et ça fait 10 ans que ça dure.

Les années se succèdent, je suis maintenant en terminale ES, je passe le bac, mes héros s'appellent Raymond Boudon et Chandler Bing, le seul type capable de sortir une quantité de blagues hilarantes à la minute. Je suis une fan incontestable de Friends, j'aime sortir, jouer de la flûte, manger des carambars, papoter pendant des heures, regarder des DVD avec Apolline Fanny et Héloïse faire du shopping (pas comme certaines...), revoir mes copines de colo Célia, Mélanie), prendre des cours de maths avec Olivier, manger du chocolat noir avec des graines de cacao dedant, les câlins de Caroline, être avec mon chat à côté d'un bon feu de cheminée, conduire la 205 de ma mère en faisant hurler le moteur au démarrage, l'histoire, la 25ème de Mozart et l'Inachevée de Schubert, jouer à la game boy, Hayao Miyazaki, les conversations msn, les blogs, et encore pas mal de trucs.

J'abhorre les maths (mais je fais des efforts quand même), le rangement, les salsifis (pouah! Quelle horreur!), les gens qui rient jamais, ceux qui puent, qui pètent dans le métro, les araignées (aux secours!), les conducteurs malotrus qui me klaxonnent, le bus qui arrive en retard, 50 cent, la ligne 8 du métro, les salles d'attentes, les DS du samedi matin (sauf quand on vient me chercher), les codes HTLM de mon blog qui me donnent du fil à retordre, les pseudos msn débiles...Et c'est à peu près tout


Et à la question "pour qui tu vas voter toi?"
Je réponds: Mickey! Pour avoir Disneyland gratuit le dimanche.



Ps: c'est mon centième message, et je l'ai même pas fait exprès!

Libellés :

16 mars 2007

Une histoire champêtre






Marguerite menait une vie de vache.
Elle regardait passer les trains, broutait, dégageait à chaque pet du méthane à en faire crever la planète, bouffait des saloperies.
Son seul plaisir dans la vie c'était de batifoler avec Hubert, tracteur de profession, vachantrope dans l'âme, et adorateur du fauchage des blés, tâche qu'il accomplissait avec une ferveur rarement observé chez une machine de cette âge.
Marguerite et Hubert s'aimaient.
D'un amour peu conventionnel certes, mais d'un bel amour champêtre, au milieux des fleurs (et des bouses), de la nature verdoyante, du regard bienveillant du fermier, de la fermière, de la crémière, du facteur, du gendarme, de madame Michu (Turlututu chapeau pointu), mais pas, pas du vétérinaire.

Le saligaud voyait d'un très mauvais oeil cette passion pour le moins peu commune, jugeant "monstrueuse" et "dangereuse" cette alliance entre le bovidé et la machine "qui sait quelles horreurs peuvent être engendrées d'une telle union?"
Marguerite et Hubert s'en fichaient du regard des autres. Parce que de toutes façons, eux, ils étaient heureux, et rien n'était plus beau que leur idylle lactée.
Mais, l'affreux vétérinaire, le machiavélique vétérinaire, choqué par tant de libertinage campagnard, décida de punir les impudents. De la façon la horrible qu'il soit. Il s'introduisit dans l'étable une belle nuit d'août, et injecta à l'innocente vache l'ESB. Le syndrome le plus redouté dans le monde, pourtant relativement insouciant, des bovidés.

Chaque jour, elle s'enfonçait un peu plus dans ce que l'on nomme communément "vache folle". Hubert dépérissait lui aussi.
Il dépérissait de voir sa belle souffrir.
Il s'en voulait de ne pas avoir pu cette nuit là, empêcher le drame qui allait à tout jamais les séparer.
Parce que tout s'arrête, Marguerite décéda. Après d'atroces souffrances, elle sombra enfin.

Hubert, lui, au contact d'un mouton enragé était en pleine incubation du Parkinson-Tracteur. Quand son heure vint, un cuirassé volant, tout de noir vêtu, le pris à son bord, et s'en alla vers d'autres cieux.

Ainsi se termine tragiquement l'histoire de Marguerite et d'Hubert.




Moralité: ne plus jamais écouté Béné, ça fait écrire n'importe quoi!

Libellés :

03 mars 2007

Aller hop!

Une nouvelle catégorie vient de voir le jour, des blogs de gens qui savent faire des supers trucs avec leurs dix doigts! Enfin, 5, parce que pour tenir un crayon, une main suffit!
Vous pourrez donc voir les beaux dessins de Boulet, Laurel, Mélaka et Maliki, des stars de la blogosphère!


Bon pour ne rien vous cacher, si j'ai fait un article avec si peu d'intérêt, c'est pour montrer à Mélaninounette-que-j'aime-très-fort, que j'ai réussi comme une grande! Héhéhé! Pas si nulle que ça en vrai!
Bon aller, vivement dans une vingtaines d'heure qu'on sorte toutes les trois! =D

Libellés :